Marie Toussaint à la rencontre des militant·e·s de Nantes

Vendredi 17 mai, la tête de liste écologiste pour les élections européennes, Marie Toussaint, était de passage à Nantes. Elle en a profité pour rencontrer les militant·e·s de la région nantaise et visiter un garage de réparation de véhicules électriques.

Vendredi dernier, Marie Toussaint était à Nantes pour un temps d’échange avec les militant·e·s et élu·e·s de la métropole, et pour visiter Révolte, un garage de réparation de véhicules électriques à Carquefou.

C'est d'abord au local de la rue Fouré que cette escale nantaise a démarré : une trentaine de personnes ont déjeuné avec Marie Toussaint, un repas partagé composé de produits bio et locaux.

Des élu·e·s du groupe L'écologie ensemble au Conseil régional des Pays de la Loire, du groupe écologiste au département de Loire-Atlantique ainsi que de la ville et de la métropole de Nantes, ont pu présenter la situation locale, les combats menés, les objectifs des luttes actuelles et les perspectives pour les prochaines échéances électorales. 

Marie Toussaint a ensuite partagé son expérience des cinq dernières années au Parlement Européen, ouvrant les échanges sur les stratégies à suivre pour cette fin de campagne.

Marie Vitoux (adjointe à la mairie de Nantes), Juliana Métivier (candidate aux Européennes), Marie Toussaint & Simon Citeau (adjoint à la mairie de Nantes)

Laurent Dubost (conseiller départemental), Louise Pahun (conseillère départementale), Marie Toussaint, Juliana Métivier & Chloé Girardot-Moitié (conseillère départementale)

Juliana Métivier, Marie Toussaint & Franck Nicolon (conseiller régional)

La visite s'est poursuivie du côté de Carquefou, au garage Révolte. Grâce à un laboratoire de recherche, un cycle de formation et des e-mécanos passionnés, l’entreprise est capable de développer des techniques de réparation innovantes permettant de proposer des devis justes et de faire durer les voitures le plus longtemps possible. 

Comme a pu nous le rappeler l'association Halte à l’obsolescence programmée, de nombreux fabricants de véhicules électriques aujourd’hui font des choix qui rendent la réparation difficile, coûteuse, voire parfois impossible. Il est urgent de légiférer pour changer cela!